Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

Iras tu le dire ?


« Et si un jour tu vois qu’une pierre te sourit, iras-tu le dire ? » (Guillevic)


(2007. 6’23. Texte, voix, images et réalisation de Bernard Deglet)