Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

La danse du Tutuguri


« J’aime mieux le peuple qui mange à même la terre le délire d’où il est né »


(2006. 7’03. Texte et voix d’Antonin Artaud, images André Mathieu, réalisation Bernard Deglet)