Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

Le drôle de bruit que ça a fait


« C’est grâce à Jérôme Bosch que j’ai compris pourquoi j’étais Belge » (Amélie Nothomb)
(2007. 7’. Texte, images, voix, réalisation Bernard Deglet)
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