Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

L’usage pour le hérisson


Tout le monde n’a pas la chance de tomber à l’eau avec un h aspiré.
(2007. 4’27. Texte, voix, images et réalisation Bernard Deglet)