Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

PSST !


« Quand vous venez de descendre du singe et que quelqu’un fait « PSST » dans votre dos, c’est souvent le bon Dieu »


(2007. 6’26. Texte, voix, images et réalisation de Bernard Deglet)