Un texte, une voix, des images. Pas de scénario ni de musique ni d’acteurs ni d’effets spéciaux, un montage plus que succinct, des moyens techniques résolument rustiques : le « cinéma » ramené à sa plus simple expression, celle du « spectateur » qui se prend à déambuler librement dans un « jardin aux sentiers qui bifurquent ».

Vers l’ours


« En fin de compte, il faut bien que chacun trouve quelque part où aller »


(2006. Texte, images, voix et réalisation Bernard Deglet. Musique Higher)